Oui, lecteur, tu as bien lu, je suis las. Ces jours-ci, ce n'est pas vraiment l'envie d'écrire qui m'étouffe, comme tu auras pu, avec ta sagacité naturelle, le constater par toi-même. DONC, j'ai eu une idée in-cro-ya-ble. Un truc de ouf. Que jamais, au grand jamais (ah ça non!), aucun blogueur n'avait eu avant moi : cacher la misère actuelle (et temporaire, espèrons-le) de mes réflexions en postant des images que tout le monde connaît déjà! C'est pas beautiful, ça, l'ami? Tu vas voir que tout le monde va s'emparer de ce trait de génie et faire pareil sur son petit espace perso! Aucun scrupule, les mecs! Non mais j'te jure... C'est à te dégoûter du genre humain!
Bref, restons sereins et modestes. Voici donc, sans plus attendre, ma galerie du jour, pas dégueulasse, puisqu'il s'agit d'un petit florilège de tableaux de deux des plus grands maîtres du mouvement préraphaélite britannique, j'ai nommé John William Waterhouse et Edward Burne-Jones. Si tu ne sais rien de ce mouvement, honorable visiteur des Cahiers, je te renvoie directement à l'article idoine de Wikipédia, ça ira plus vite. Personnellement, le préraphaélisme, je kiffe ma race. D'abord, c'est un mouvement de réacs, donc il ne saurait être tout à fait mauvais. Qui plus est, ces peintres ont une obsession commune assez évidente (sauf pour les daltoniens, mais enfin, entre nous, les handicapés ce n'est pas vraiment mon problème) : une fixette incurable sur les rousses. Voilà qui ne peut manquer, encore une fois, de me les rendre sympathiques! Enfin, ils traitent leurs sujets, souvent mythologiques, littéraires ou bibliques, avec un art consommé du symbolisme. Ce qui fait déjà beaucoup de bonnes raisons d'ouvrir bien grand ses mirettes. D'aucuns diront que c'est un art de chochottes dégénérées ou d'esthètes fin-de-race, mais il ne faut pas écouter les esprits chagrins. Suivez le guide!
Bref, restons sereins et modestes. Voici donc, sans plus attendre, ma galerie du jour, pas dégueulasse, puisqu'il s'agit d'un petit florilège de tableaux de deux des plus grands maîtres du mouvement préraphaélite britannique, j'ai nommé John William Waterhouse et Edward Burne-Jones. Si tu ne sais rien de ce mouvement, honorable visiteur des Cahiers, je te renvoie directement à l'article idoine de Wikipédia, ça ira plus vite. Personnellement, le préraphaélisme, je kiffe ma race. D'abord, c'est un mouvement de réacs, donc il ne saurait être tout à fait mauvais. Qui plus est, ces peintres ont une obsession commune assez évidente (sauf pour les daltoniens, mais enfin, entre nous, les handicapés ce n'est pas vraiment mon problème) : une fixette incurable sur les rousses. Voilà qui ne peut manquer, encore une fois, de me les rendre sympathiques! Enfin, ils traitent leurs sujets, souvent mythologiques, littéraires ou bibliques, avec un art consommé du symbolisme. Ce qui fait déjà beaucoup de bonnes raisons d'ouvrir bien grand ses mirettes. D'aucuns diront que c'est un art de chochottes dégénérées ou d'esthètes fin-de-race, mais il ne faut pas écouter les esprits chagrins. Suivez le guide!
Pour commencer, un petit panorama des oeuvres de Edward Coley Burne-Jones.






Et enfin, une sélection de toiles toutes plus envoûtantes les unes que les autres du très grand John William Waterhouse.
1 Comment:
un homme qui aime les préraphaélites ne peut pas tout à fait être mauvais!!! ;o)
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